Il y a une période où, chaque nuit à 3h du matin, je me réveillais avec la sensation d’être observée.Ma fille était là, immobile au bout du lit. Les nuits s’enchaînaient, la fatigue s’accumulait, et la machine à pensées infernale démarrait : « Elle doit avoir un problème… Je vais rater ma réunion demain… »
C’est ce moment-là qui m’a fait redécouvrir la méditation.Pas comme une fuite, mais comme un outil pour poser un frein au tourbillon intérieur et retrouver un peu de calme, même au cœur du chaos parental.