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Et si nous avions oublié l’essentiel : prendre soin de nous.**
Il y a quelques semaines, j’ai vécu une scène qui m’a profondément marquée.
Je me rendais à Paris en train, tôt le matin. En face de moi, une femme d’une quarantaine d’années… visiblement épuisée. Elle buvait un café brûlant d’une main tout en répondant frénétiquement à des mails de l’autre. Une respiration courte. Des gestes nerveux. Le visage crispé.
Cette scène illustre parfaitement : le décalage entre notre rythme de vie, notre environnement… et notre santé.
Les statistiques récentes l’indiquent clairement :
👉 On meurt moins du cancer qu’avant, grâce aux progrès médicaux.
👉 Mais il n’y a jamais eu autant de nouveaux cas.
Cf cet article du Monde : Cancer : la France doit savoir pourquoi elle est surexposée
Et ça, c’est un choc.
Un pays moderne, doté d’un système de santé performant… mais en tête du nombre de cancers diagnostiqués.
Les chercheurs observent :
des taux particulièrement élevés chez les femmes ;
l’impact persistant du tabac et de l’alcool ;
une exposition importante à certains polluants ;
un environnement alimentaire et agricole unique en Europe.
Mais malgré toutes les études, une partie de cette explosion reste encore un mystère.
Et c’est là que je ressens, au fond de moi, une intuition profonde :
Ce n’est peut-être pas tant un mystère qu’un angle mort.
Nous avons une médecine extraordinaire pour soigner.
Mais qu’avons-nous mis en place pour éviter que les gens tombent malades ?
👉 Presque rien.
Notre système est construit comme un pompier :
il intervient quand ça brûle,
mais il ne cherche pas vraiment à éviter l’incendie.
Or, le cancer n’arrive pas par hasard.
Ce n’est pas un éclair dans un ciel bleu.
C’est un terrain qui se fragilise, lentement.
C’est la somme de petits déséquilibres quotidiens que l’on ignore trop longtemps.
Et cela, l’Ayurvéda l’a compris… il y a plus de 5000 ans.
L’OMS reconnaît l’Ayurvéda comme un système de santé traditionnel.
Pas une croyance.
Pas un folklore exotique.
Un système reposant sur la prévention, l’hygiène de vie, l’équilibre.
Et ce qu’il nous dit est d’une simplicité déconcertante :
Rien de spectaculaire.
Juste du bon sens.
Celui qu’Hippocrate résumait déjà ainsi :
« Que ton alimentation soit ta première médecine. »
Alors… pourquoi avons-nous autant de cancers ?
Peut-être parce que nous avons oublié cette phrase.
Ou parce que nous avons cessé de regarder ce qu’il y avait dans nos assiettes, nos verres, notre air, nos pensées.
qu’est-ce que nous faisons entrer dans notre corps chaque jour ?**
Avant de chercher des explications complexes, des mutations improbables ou des théories révolutionnaires…
Regardons la réalité :
Des aliments ultra-transformés.
Des pesticides parmi les plus utilisés en Europe.
Un air chargé de polluants.
Un stress chronique élevé.
Peu de mouvement.
Et un sommeil sacrifié.
Un cocktail silencieux, banal… mais explosif.
Le cancer ne tombe pas du ciel.
Il germe dans un terrain qui n’a pas été entretenu.
Je crois profondément, sincèrement, que nous pouvons inverser la tendance.
À condition de changer notre approche :
👉 Arrêter de penser la santé comme la réparation d’un problème.
👉 Et commencer à la voir comme l’entretien quotidien de notre énergie vitale.
C’est ce que j’enseigne, ce que je transmets, ce que j’incarne :
un retour au bon sens, à l’écoute du corps, à l’auto-prévention.
Pas des régimes stricts.
Pas de peur.
Pas de culpabilité.
Juste une question simple :
Comment puis-je prendre soin de moi aujourd’hui pour rester en bonne santé demain ?
La France peut refaire de la prévention un pilier national.
Elle peut mettre en lumière l’impact réel de l’alimentation, du stress, du sommeil, des polluants. Elle peut écouter les médecines traditionnelles comme l’Ayurvéda.
Elle peut réapprendre à prendre soin avant de soigner.
Mais tout commence ici.
Avec toi.
Avec moi.
Avec chaque personne qui décide de remettre la santé au centre de sa vie.
Parce que la meilleure protection… est celle que l’on cultive chaque jour.
Prends rendez-vous si tu veux arrêter de rester passif et reprendre ta santé en main:
Bilan ayurvédique : une porte vers l’équilibre intérieur – Cocooning&Zen
